la section PS de la Ville de Bruxelles

PROGRAMME 2024-2030

Economie et commerce - Texte complet

Economie - Commerce

 

 

Pour soutenir le développement de l’économie sociale et solidaire ainsi que l’insertion socioprofessionnelle, le PS-Vooruit propose de :

 

  • Continuer à privilégier le recours aux entreprises d’économie sociale et aux entreprises de travail adapté (ETA) et développer des emplois durables dans les services de proximité comme la garde d’enfants, les services de restauration des personnes âgées…
  • Réserver l’exécution et l'accès à la procédure de passation d’une partie des marchés publics à des ETA et à des opérateurs économiques dont l'objectif est l'intégration sociale et professionnelle de personnes handicapées ou défavorisées, en application de l’article 15 de la Loi du 17 juin 2016 relative aux marchés publics.
  • Systématiser l’intégration de clauses éthiques, sociales et environnementales dans les marchés publics et conditionner la passation de marchés publics à la fourniture de biens et services durables et de proximité. Le PS-Vooruit, dans son engagement éco-socialiste, souhaite développer les conditions d’octroi des marchés de fournitures de biens et services s’articulant autour de la notion de « réparabilité » de ceux-ci. Les biens (y compris numériques comme les logiciels informatiques) doivent pouvoir être adaptés et réparés par les agents des administrations sans continuellement faire appel à la sous-traitance pour l’après-vente ou la garantie, afin d’ éviter l’augmentation artificielle et inutile du coût du service public et la création de déchets parfois très nocifs et toxiques (ex. : certains métaux lourds et substances contenus dans le matériel informatique).
  • Réaliser des campagnes de sensibilisation à l’économie sociale auprès des entreprises et des entrepreneurs et aider au développement d’agences-conseils.
  • Soutenir, avec l’aide et l’expertise de brussels, la professionnalisation des entreprises d’économie sociale pour les aider à gagner une compétitivité comparable à celle des entreprises commerciales classiques de manière à ce qu’à terme elles prennent part aux marchés publics de la Ville et des autres communes et pouvoirs publics.
  • Réserver un quota de locaux commerciaux de la Régie foncière et du CPAS à destination des entreprises d’économie sociale, qui bénéficieraient de conditions de location préférentielles et d’un accès préférentiel au matériel communal.
  • Soutenir le développement de la société d’économie sociale créée par la Ville pour gérer l’exploitation événementielle du plateau du Heysel et la filière de formation des
  • Ouvrir la Ville de Bruxelles à la participation au capital des entreprises d’économie sociale pour en soutenir le développement.
  • Associer les structures locales et régionales de l’emploi (Mission locale, CPAS, Actiris…) pour épauler les soumissionnaires des marchés publics avec clauses sociales dans le recrutement d’un nombre défini de jeunes inscrits dans les structures publiques de recherche d’emploi.
  • Soutenir les coopératives d’activités permettant aux futurs entrepreneurs de tester leur projet professionnel tout en conservant leurs droits et revenus de substitution.
  • Adopter, en associant les partenaires sociaux, une Charte de lutte contre le dumping social, sur l’exemple des Villes de Herstal et de Charleroi et plusieurs autres municipalités wallonnes, régissant l’ensemble des marchés publics de la Ville de Bruxelles, du CPAS, de ses associations – y compris chapitres XII – et organismes para-communaux.
  • Multiplier les collaborations avec l’auditorat du travail et les services fédéraux et régionaux d’inspection sociale et du travail, pour mieux détecter les situations de dumping social et d’irrégularité sur les chantiers lancés sur la base de marchés publics.
  • Etendre, en collaboration avec les autres communes concernées, à la Zone de Police Bruxelles-Capitale/Ixelles ainsi qu’aux intercommunales auxquelles participe la Ville de Bruxelles une telle Charte de lutte contre le dumping social.

 

Pour privilégier l’emploi public et de qualité à la sous-traitance privée le PS-Vooruit propose de :

 

  • Veiller à ce que l’internalisation de ces tâches soit l’occasion d’améliorer les conditions de travail, souvent précaires, offertes par le secteur privé dans ces domaines d’activités (horaires de travail, rémunération, perspectives de formation et d’évolution…).
  • Exploiter au maximum le cadre légal offert par la législation relative aux marchés publics pour développer le service « in house » permettant de ne pas devoir passer par la procédure des marchés publics lorsqu’il existe une capacité à réaliser en interne les missions en se reposant sur le personnel et les structures publiques locales.
  • Mener une politique plus substantielle et institutionnalisée de partenariats avec les écoles supérieures, universités et centres d’études bruxellois visant à offrir l’assistance, le transfert de données (notamment statistiques, anonymisées, pour les besoins de la recherche scientifique) et, le cas échéant, l’accueil de chercheurs et d’étudiants au sein des administrations de la Ville et du CPAS (recherches, thèses, travaux de fin d’études, stages…).

 

PRIORITÉ AU DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE LOCAL !

 

Pour soutenir et dynamiser la création de l’activité économique dans le cadre de la politique d’aménagement du territoire le PS-Vooruit propose de:

 

  • Veiller, dans le cadre de la politique d’aménagement du territoire et de la mise en œuvre des grands projets urbanistiques (NEO, Schaerbeek Formation, Solvay...), au maintien de moyennes et grandes surfaces mixtes affectées aux activités économiques et à l’implantation d’entreprises industrielles urbaines logistiques, portuaires, touristiques et commerciales…
  • Créer, dans le cadre du projet NEO, un grand pôle d’industrie touristique sur le plateau du Heysel avec un centre de congrès, une grande salle de concerts, des activités de loisir…
  • Évaluer les impacts des plans de mobilité dans les quartiers commerçants de la Ville de
  • Poursuivre la politique de rééquilibrage des affectations économiques et résidentielles aux abords des bassins et tronçons centraux du canal notamment en les réaménageant en de nouveaux quartiers de vie.
  • Collaborer à la création d’un grand pôle logistique de transport multimodal de marchandises sur le site de Schaerbeek Formation afin de booster cette activité essentielle à la viabilité d’une ville tout en dégageant le centre-ville et certaines rives du canal de la forte présence des poids lourds.


  • Poursuivre la politique de soutien et de création de centres et de clusters d’entreprises, particulièrement dans les quartiers nord et ouest de la Ville (cluster environnemental de Tivoli, centre BYRRH, pôle d’activités Navez…).
  • Proposer des espaces de type pépinière d’entreprises ou des occupations temporaires de type « auberge espagnole » (en collaboration avec hub.brussels) afin que les jeunes entrepreneurs puissent tester leurs idées dans un environnement favorable tout en bénéficiant d’un accompagnement de qualité (et de relais pour trouver des outils de financement pour leur développement).
  • Proposer aux jeunes entrepreneuses et entrepreneurs un service d’appui centralisé pour les soutenir dans toutes leurs démarches administratives et juridiques.
  • Pérenniser et redynamiser le Marché Matinal Mabru.
  • Encourager quand c’est possible, les entreprises à occuper d’anciens bâtiments industriels à réaffecter afin que l’opération économique soit combinée avec une opération de rénovation urbaine.
  • Poursuivre, tant au niveau de la Ville que du CPAS, la politique d’acquisition immobilière d’anciens sites industriels au gré des opportunités, en vue de leur réaffectation à des projets urbains d’activités économiques, comme ce fut le cas avec le Palais des Vins et BYRRRH (devenus respectivement l’Atelier des Tanneurs et Be-Here).

 

Pour organiser et renforcer la promotion de Bruxelles en tant que zone d’investissement attractive et développer les incitants, le PS-Vooruit propose de :

 

  • Compléter et poursuivre un plan de recherche active des investissements étrangers en partenariat avec l’Agence Bruxelloise pour l’Accompagnement de l’Entreprise (brussels).
  • Poursuivre la stratégie de développement économique durable misant clairement sur une relative spécialisation autour d’un nombre limité de secteurs d’activités forts en potentialités de création d’emplois bruxellois : métiers du care, services d’aide aux personnes, petite enfance, HoReCa, tourisme et culture, filière verte, rénovation et construction durable…
  • Exploiter au maximum l’image de Bruxelles en tant que capitale de l’Europe et sa localisation stratégique au carrefour des principaux nœuds de transports européens (transport routier, ferroviaire, navigable et aérien).
  • Poursuivre le développement de la zone d’intérêt prioritaire du canal, en collaboration permanente avec la Région et l’agence brussels.
  • Participer constructivement aux efforts de hub.brussels et des autres organismes publics en matière de promotion de Bruxelles et de ses facilités.
  • Exploiter la fonction de Bruxelles en tant que grand pôle universitaire pour créer de nouvelles synergies avec les universités qu’elle accueille et renforcer le partenariat historique privilégié entre la Ville et Bruxelles et le CPAS d’une part et l’ULB et la VUB d’autre part, pour le développement d’activités et de secteurs économiques innovants et créateurs d’emplois d’avenir.


Pour favoriser l’esprit d’entreprendre le PS-Vooruit propose de :

 

  • Réaliser des campagnes de sensibilisation à l’esprit d’entreprendre au travers de la promotion de bonnes expériences d’entrepreneurs bruxellois.
  • Sensibiliser les plus jeunes à l’esprit d’entreprendre en mettant en place, dès l’enseignement primaire, des méthodes pédagogiques permettant d’éveiller les élèves à la prise d’initiatives et à la culture du projet.
  • Renforcer l’enseignement et la formation en alternance et les stages dans l’enseignement de plein exercice en collaboration avec les autres niveaux de pouvoir (Région, VGC, COCOF, Fédération Wallonie-Bruxelles) et les partenaires sociaux (notamment les organisations représentant les entreprises, PME, TPE et indépendants…).
  • Encourager les échanges structurels (visites, stages, réalisation de projets, rencontres…) entre les acteurs économiques de la Ville (commerçants, entreprises) et les établissements scolaires afin de sensibiliser les jeunes au monde de l’entreprise.
  • Renforcer le soutien de la Ville aux projets visant l’aide et l’accompagnement des chercheurs d’emploi dans la création de leur propre activité économique indépendante, notamment par la création d’incubateurs youth-friendly, en association avec la Région.
  • Organiser le soutien et renforcer le mentorat, pour offrir aux jeunes entrepreneurs et starters de Bruxelles un accompagnement et des conseils s’appuyant sur le bénévolat d’entrepreneurs expérimentés.
  • Valoriser nos principaux secteurs d’activités économiques et différents métiers par la mise en place, avec les secteurs privés concernés, de remises de prix annuelles, honorifiques ou accompagnées de bourse d’investissement (secteurs hôtelier, restauration et café, mode et design, commerce de détail…).

 

Pour développer les secteurs d’activités durables le PS propose de :

 

  • Continuer à développer le tourisme, la culture et l’événementiel comme levier économique à Bruxelles, en veillant à garantir un équilibre avec les autres fonctions de la ville, et à lutter contre les dérives qui nuisent à la qualité de vie des Bruxelloises et des Bruxellois (ex. : AirBnb).
  • Poursuivre le projet de création d’un pôle d’activités mixte (logement/entreprise) dédié aux métiers de la construction durable rue Navez, dans le Quartier Nord.
  • Promouvoir l’implantation d’activités en lien avec le secteur de l’environnement en privilégiant leur accueil dans les centres d’entreprises.
  • Soutenir les petites entreprises locales, les commerces et les indépendants.
  • Mobiliser les fonds structurels européens pour développer l’emploi peu qualifié et difficilement délocalisable.


PRIORITÉ AU DÉVELOPPEMENT DES COMMERCES DANS UNE VILLE COMMERÇANTE MILLÉNAIRE !

 

Pour soutenir la qualité et la diversité des commerces dans tous les quartiers de Bruxelles le PS-Vooruit propose de :

 

  • Poursuivre l’élaboration des plans de développement commercial pour chacun des quartiers commerçants de la Ville, dans le but de parvenir à une réelle mixité commerciale, de valoriser et accentuer l’identité et les spécificités propres à chaque noyau commercial, et de promouvoir en Belgique et à l’étranger une vision claire et attractive de la richesse et de la diversité commerciale bruxelloise.
  • Investir dans les noyaux commerciaux afin de leur donner une nouvelle impulsion et renforcer leur dynamique, tout spécialement dans ceux situés dans des quartiers plus excentrés (ex. : Marolles, rue De Wand, rue Marie-Christine…).
  • Promouvoir davantage la participation et la concertation avec les commerçants dans le cadre des différentes politiques qui les concernent directement.
  • Doter la politique d’implantation des commerces dans nos quartiers d’un nouvel outil stratégique: création d’une régie, sous la forme juridique d’une association chapitre XII, qui sur le modèle des sociétés d’économie mixte (SEM) de la Ville de Paris, serait en charge de :
    • la gestion, l’entretien et la mise en location des locaux commerciaux appartenant à la Ville de Bruxelles (Régie foncière) et au CPAS, en ce compris en menant une politique de magasins éphémères – ou pop-up stores – dans le but de redynamiser certains quartiers connaissant des baisses d’attractivité et de cellules commerciales vides,
    • l’acquisition de nouveaux locaux commerciaux dans le même but,
    • la location des cellules commerciales vides en vue d’une sous-location sur le modèle du fonctionnement des agences immobilières sociales (AIS),
    • la mise en œuvre de la politique du commerce adoptée par la Ville – et plus exactement les plans de développement commercial – avec pour objectifs premiers la mixité commerciale, le développement harmonieux des quartiers commerçants, l’amélioration de l’attractivité de tous les quartiers commerçants, le soutien aux jeunes entrepreneurs et la lutte contre les cellules vides,
    • la réalisation d’études et recherches en matière de développement commercial en vue de formuler des propositions (de règlements notamment) en soutien de la politique du commerce du Collège des bourgmestre et échevins,
    • la collaboration avec, d’une part, les associations de commerçants et les Business Improvement Districts (lire ci-dessous) et, d’autre part, le niveau régional, notamment l’ancienne agence Atrium intégrée au sein de l’agence brussels, Citidev, l’invest régional finance.brussels (SRIB),
    • le soutien des jeunes entrepreneurs porteurs d’un projet commercial innovant par une exonération de loyer pendant un an pour les espaces de la Régie foncière et du CPAS, sur la base de remise de projet.
  • Simplifier la vie des commerçants en collaborant avec le guichet unique de la Région (brussels), permettant d’obtenir l’ensemble des informations sur les démarches nécessaires, les demandes de permis et autorisations nécessaires au lancement de leur activité et les aides disponibles et accompagnant les enseignes désirant s’installer à Bruxelles ou des nouveaux projets d’entrepreneuriat.
  • Soutenir la diversité de l’offre commerciale de proximité dans son rôle de cohésion sociale, notamment en tant que desserte des populations moins mobiles (ex : les zones commerciales des rues De Wand et François Vekemans).
  • Organiser une réelle concertation avec les commerçants sur les différents incitants qui pourraient améliorer le dynamisme commercial, en particulier en matière de qualité des devantures commerciales et des enseignes, d’aménagement de l’espace public, de transport, de gestion des déchets et des nuisances, de sécurité, de fiscalité…
  • Adapter la politique de stationnement en privilégiant la gratuité de courte durée et la rotation forte afin de permettre à ceux qui en ont besoin de faire leurs courses en voiture tout en assurant une plus grande disponibilité du stationnement dans les rues et quartiers commerçants.
  • Organiser de plages horaires de livraison de marchandises dans les quartiers commerçants (avant l’affluence des heures de pointe du matin, et après celles du soir), tout en mutualisant les aires de livraison à l’aide d’un outil informatique (en ligne et/ou application smartphone).
  • Poursuivre la rénovation des devantures commerciales en maintenant les
  • Continuer la lutte contre les enseignes obsolètes avec des sanctions plus sévères contre les commerçants négligents persistant dans l’inaction.
  • Augmenter le nombre de places publiques permettant l’organisation de marchés, tant dans les quartiers existants que dans le cadre du développement de nouveaux quartiers.
  • Redynamiser les marchés de la Ville (marché aux puces, marché de la place Bockstael, marché de la place Anneessens en lien avec le marché du Midi…) et soutenir le développement de marchés de produits Bio et/ou issus du commerce équitable.
  • Étudier la possibilité de créer un marché couvert permanent sur le territoire de la Ville de Bruxelles, à l’image de ceux existant dans les villes comme Barcelone ou Paris.
  • Collaborer à la redynamisation de certaines galeries commerçantes (passage Saint-Honoré et passage du Centre, galerie Bortier, galerie Ravenstein).
  • Lutter contre l’excès de commerces similaires, notamment à travers l’application du règlement « Night shop » et « Phone shop » par un contrôle plus efficace de la Police de l’urbanisme, afin de limiter drastiquement la prolifération de ce type de commerce dans les quartiers animés et centraux.
  • Poursuivre une politique d’ouverture, de dialogue et de convivialité avec les tenanciers des locaux HoReCa dans les quartiers centraux, tout en luttant contre les nuisances pouvant être générées par les terrasses (bruits, mégots...), afin d’assurer un équilibre et un cadre de vie agréable, propice à l’habitat, même dans les quartiers centraux.

 

Soutenir l’activité créée par les PME et les TME en développant les centres d’entreprises de la Ville et du CPAS :

 

  • Le Centre Dansaert offre ainsi une surface de 000 m² et accueille aujourd’hui près de 100 entreprises actives dans le stylisme, le design et l’architecture, la bijouterie joaillerie, le graphisme, la communication et les nouvelles technologies, sans oublier un important pôle de production cinéma. Ces entreprises y trouvent un loyer modéré et une aide à la gestion.
  • Les Ateliers des Tanneurs créés par le CPAS dans l’ancien Palais du Vin de la rue des Tanneurs, en plein cœur des Marolles, sont le second pôle. Ils mettent à disposition des entreprises 000 m² d’espaces de production, réunion et organisation d’évènements ainsi qu’une large gamme de services. Les activités liées au développement durable ou à l’insertion socioprofessionnelle y sont favorisées.
  • Le Pôle d’activités économiques urbaines de Bruxelles Be-Here (les anciens entrepôts BYRRH) situé dans le Sud de Laeken à proximité du site Tours & Taxis et du Port de Bruxelles, offre 000 m² de bâtiments classés et rénovés dans le but d’y accueillir un pôle d’activités économiques urbaines. Celui-ci offre aux entrepreneurs des surfaces modulables de type semi-industriel, dans une architecture originale et un aspect innovant en matière de technologies durables. La particularité du projet est que les entreprises doivent s’engager à favoriser l’accès à l’emploi à la population du quartier en offrant notamment des postes pour une main d’œuvre faiblement qualifiée. Des activités d’insertion socioprofessionnelle telles que la boulangerie ou des métiers de bouche sont les premières visées afin de satisfaire la demande des entreprises en « catering/service traiteur ». Le projet vise à soutenir le secteur des TIC, l'alimentation durable (en ce compris la transformation et la distribution), l'écoconstruction et l'éco-rénovation liées à l'essor démographique et au développement urbain, les activités de logistique d'approvisionnement et de distribution et le secteur de l'industrie culturelle. Nous souhaitons renforcer cette dynamique de soutien à la création d’activités économiques, et développer les réseaux et la complémentarité entre les centres d’entreprises de la Ville et ceux de la Région, que ce soit en termes de surfaces proposées (de bureaux partagés de 20 m² à des plateaux de 500 m²) ou de secteurs accueillis et représentés.

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